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Un article intéressant de Michel Dogna, qui souligne un fait connu depuis des millénaires dans les traditions orientales, la possibilité de guérir par images mentales. En effet, ce procédé est le principe des méditations de guérison pratiquées au Tibet. « L’infini pouvoir de guérison de l’esprit » – Tulkou Thondoup – Le Courrier du Livre.

L’IMAGERIE MENTALE, CLÉ DES MIRACLES

Tous les cours de développement personnel, que ce soit dans le domaine de la réussite professionnelle, des sports de haut niveau, de l’auto-guérison, de l’amour ou de la prospérité en général, convergent sur un théorème de base :

L’imagerie mentale est déterminante dans tout processus de concrétisation.

Même les enseignements religieux sont en accord avec ce principe lorsqu’ils rapportent les paroles de Jésus, telles que :
« Ce que vous demanderez en mon nom, considérez que vous l’avez déjà ».

Remarquons en outre la finesse de cette proposition qui filtre en quelque sorte les prétentions déraisonnables pour autant qu’elles passent par le Maître.
Car justement, là est la question : jusqu’où se situe la légitimité de notre désir ?

La réponse est la suivante :
1. Le désir doit être avouable devant Dieu et les hommes.
2. Nous devons avoir l’impression de mériter d’avoir accès à la demande.
3. La projection mentale dans l’avenir, en supposant le désir exaucé, ne doit pas susciter un léger malaise ou une légère inquiétude, mais au contraire une grande joie intérieure.

Souvent, nous obtenons l’inverse de ce que nous recherchons. La raison est très simple. Nous programmons instinctivement, dans notre imagerie mentale, la scène de notre peur, de notre doute, de notre rejet, de notre échec. Notre ordinateur interne prend cela pour un ordre et… le réalise.

Exemple : Je souhaite bien dormir, mais je redoute le bruit parce que je me suis fabriqué un programme comme quoi le moindre bruit me réveille. Et ça marche. Il me suffit de corriger mon programme et de commander à mon ordinateur interne d’effacer les bruits éventuels en affirmant que je suis insensible aux bruits quand je dors.
Il suffit d’essayer pour être convaincu.

Guérir dans sa tête

Lorsque j’ai organisé mon premier stage de guérison en 1983, j’ai reçu une femme qui avait eu un accident de voiture et qui était passée à travers le pare-brise. L’une de ses mains était paralysée en raison de la section du nerf radial qui s’était rétracté de 17 cm. Ceci avait été jugé inopérable par les chirurgiens. Cette femme, nommée Mireille A., institutrice, effectua pendant 6 mois, matin et soir, un exercice de visualisation qu’elle avait appris lors du stage. Celui-ci consistait à imaginer pendant 5 minutes, les deux morceaux de nerfs qui se rejoignaient lentement, telles des racines de lumière, à l’intérieur du bras. La repousse fut suivie à la radio et la suture se fit au bout des 6 mois. Elle reprit un an plus tard son sport favori… la varappe.

Ce type d’exploit est à la portée de chacun. Ce n’est pas un problème de volonté, mais de persévérance. Il s’agit simplement d’un exercice de visualisation la plus nette possible, à refaire chaque matin et soir.
Lorsqu’il s’agit d’une tumeur, d’un kyste, ou toute excroissance à supprimer, l’imagerie mentale peut agir avec la même efficacité : il suffit d’imaginer un solvant puissant qui dissout sélectivement les tissus atypiques. Il faut minutieusement distiller ce solvant à l’aide d’un compte-gouttes à la surface de la formation tumorale. Celle-ci va fondre à la manière d’un morceau de sucre dans le café.

Dogna